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Les Phares de Nice
Il me semble qu’enfin, par le sombre silence
De leur humble indulgence, la pluie et les embruns,
Nous livrent ce matin, l’hymne d’où tout commence
L’horizon miroité, mignoté par les Saints,
Aujourd’hui les retient et les laissent rêver
D’échanges éclairés que le Soleil éteint.
Du haut de ma fenêtre, je les vois s’animer
De blanc et d’orangé, tant ils osent paraître,
Amoureux de deux êtres, l’autre et les voiliers.
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